- (+41) 22 310 61 10
- office@berrandpartners.ch
- Lundi - Vendredi: 9:00 - 18:00
Menu
Les rubis, saphirs, émeraudes et diamants sont les quatre pierres précieuses communément appelées dans l’industrie « The Big Four »
La clarté : Le degré de transparence. Il est affecté par la présence d’impuretés dans la pierre, appelées inclusions. Plus les inclusions sont nombreuses et/ou grosses, moins la gemme sera transparente.
La couleur : Le degré d’intensité. La couleur doit être ni trop claire ni trop foncée (hormis pour les diamants blancs).
L’éclat : Aspect de la pierre lorsque qu’elle reflète une radiation lumineuse. L’éclat dépend en grande partie de la taille de la pierre. Mieux elle est taillée, plus elle aura de reflets.
La rareté d’une gamme est appréciée en fonction de sa disponibilité sur le marché. Plus une pierre est rare, plus celle-ci a de la valeur.
Elle repose essentiellement sur trois propriétés : la dureté, la solidité et l’insensibilité d’une pierre aux agents chimiques.
La dureté d’un minéral reflète sa résistance à la rayure.
La mesure de la dureté est empirique et se fait par comparaison avec 10 minéraux de référence constituant l’échelle de dureté dite de Mohs.
L’origine n’est évidemment jamais gage de qualité mais elle peut augmenter la valeur d’une pierre précieuse, notamment de couleur (gemme arborant la teinte typique d’une région ou provenant d’une mine épuisée).
Plus une pierre à un poids élevé, exprimé en carats (1 carat = 0.20 gramme), plus elle est rare. Mais plus une gemme est grosse, plus elle est également susceptible d’avoir des défauts (poids privilégié au détriment d’une bonne taille, couleur non uniforme, inclusions plus nombreuses et/ou importantes…)
La demande en pierres de bonne qualité étant largement supérieure à la production mondiale, la grande majorité des gemmes est améliorée artificiellement. Plusieurs méthodes existent, dont :
À noter : les pierres synthétiques ont fait leur apparition à la fin du 19ème siècle. Créées en laboratoire, elles possèdent les mêmes caractéristiques optiques et chimiques que leurs homologues naturels. Seules quelques caractéristiques mineures, telles que les inclusions, permettent de distinguer une origine minérale d’une origine artificielle.
